Né(e) pour une destinée glorieuse : l’atelier de Magalie Kalala qui booste la confiance en soi

La rentrée débute fort pour Magalie Kalala. La conférencière, coach et auteure était présente à ICC Paris Centre le dimanche 25 septembre 2022 pour un atelier appelé « Né(e) pour une destinée glorieuse »… un thème qu’elle maitrise parfaitement !

« Je peux être ce que je décide d’être! ». Voilà la phrase inscrite sur le fond d’écran du téléphone de Magalie Kalala. Devant une foule de personne assises sur les sièges rouges du Théâtre Mathurin (lieu de culte de ICC Paris Centre situé au 36 Rue des Mathurins, 75008 Paris), la jeune femme, debout, dépose son téléphone et tient fermement son micro pour débuter l’atelier « Né(e) pour une destinée glorieuse ». Habillée d’un blazer estampillé de motifs traditionnels africains, elle respire la confiance en soi et n’a pas peur de se dévoiler. Quand on la voit, difficile de l’imaginer quelques années plus tôt « timide, renfermée, en surpoids et qui n’aimait pas le son de sa voix » .

Elle débute ce temps par quelques minutes de louange et entraine toute la salle dans une belle adoration sans forcer. C’est de famille : fille de pasteur, soeur de Cassi Kalala Tshimpi, 4ème fille de 10 enfants, Magalie Kalala a été bercée par les valeurs chrétiennes depuis sa tendre enfance. Pourtant celle qui brillait par ses très bons résultats scolaires était « éteinte » dans la vraie vie. Pas de joie de vivre. Juste survivre. 

« Vous êtes en vie ! Tu es en vie ! Tiens la main de la personne à côté de toi. Fais lui un câlin. On n’est pas seul… Il s’agit de notre destinée ! » lance-t-elle avec conviction. Les ateliers de Magalie Kalala sont interactifs, vivants. Ils brisent la glace et réchauffent les coeurs. Il suffit d’observer la volonté des personnes venues nombreuses pour le comprendre. 

Le prix d’une destinée glorieuse

Si la jeune femme de 32 ans en est là aujourd’hui c’est parce qu’elle a une histoire. Une histoire douloureuse qu’elle a réussit à transformer en décidant de se lever dans son malheur survenu il y a 5 ans. Mariée et maman d’un garçon de 13 mois , elle perd son époux tragiquement et subitement. Du jour au lendemain, elle devient veuve, endettée et ne sait plus qui elle est. Grace à sa foi et le soutien de sa famille, Magalie Kalala se relève et prend le risque de retourner à l’école. Elle se lance dans l’entrepreneuriat et développe une activité de conseillère en image. Petit à petit, elle arrive à financer ses projets et sort la tête de l’eau. « Pas de sugar daddy ou de sugar lady, juste Jesus ! » fait-elle savoir.

Elle n’aurai jamais cru que sa vie allait prendre une telle tournure. Pour elle , pas de secret : il faut rêver pour soi-même et travailler pour vivre ses souhaits les plus fous. Il faut qu’il y ait un avant et un après. Pour elle, il était hors de question de rester « la veuve triste« . Il faut compter sur le Très Haut, se détourner de ses problèmes et faire des choses qu’on aime, savoir monétiser ses services. « J’ai cherché, j’ai trouvé. J’ai fait et j’ai vendu… Dieu s’est glorifié ! » Pour elle, rien est impossible et si parfois la pensée d’abandonner lui passe par la tête, elle se rappelle que si elle ne travaille pas pour ses rêves… qui le fera à sa place ? 

Aujourd’hui, Magalie Kalala témoigne haut et fort, sur les réseaux sociaux ou lors de ses ateliers. Elle assume son passé à travers l’écriture de ses livres Ceux qui s’aiment, sèment et Tu es plus fort(e) que ta douleur sortie en mars dernier. Très bientôt, elle va même inonder les ondes avec la création d’un podcast ! Dans la salle, plusieurs attestent que ses paroles ont eu impact positif sur eux. C’est visible, c’est palpable. C’est glorieux. Magalie ne se cache plus, elle est pleinement dans sa destinée. 

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